Le 04/04/2015
Une étude publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism a estimé que le coût sanitaire de l'exposition des populations humaines aux perturbateurs endocriniens s'éleverait, en Europe, à plus de 150 milliards d'euros par an.
Ces perturbateurs endocriniens sont issus de pesticides, d'isolants alimentaires ou encore de composants cosmétiques (par exemple les phtalates). Ils seraient responsables de déficiences intellectuelles, de troubles de l'attention, de diabètes, d'obésités et d'infertilités.
En 2016, une nouvelle législation européenne pourrait aboutir à l'interdiction de l'utilisation de perturbateurs endocriniens.
Sources :
Endocrine society
Le quotidien du médecin
Es